Skip links

Ces lipides qui donnent la pêche

Les lipides : Les graisses à consommer et à éviter

 

Le problème majeur de toutes les maladies chronique est l’inflammation. En chercher l’origine tant dans l’alimentation que dans les éliminations ou les comportements toxiques, permet de la réduire voir de la supprimer.

Dr  David Permultter

 

De nombreuses recherches montrent qu’une alimentation riche en glucides (sucre) et pauvre en graisses augmente sensiblement le syndrome inflammatoire.

 

1- Graisses pilier de notre santé :

  • Notre cerveau est constitué de 70% de lipides (graisses).
  • Une alimentation riche en glucides et pauvres en lipides, augmente les risques de d’Alzheimer et de Parkinson [1].
  • Les graisses jouent un rôle primordial sur la régulation du système immunitaire.
  • Les oméga 3 et graisses mono-insaturées (bonnes graisses) diminuent l’inflammation.
  • Une alimentation riche en graisses aide dans la régulation des maladies auto-immunes, de l’hyperactivité, de l’autisme, de l’épilepsie [2]
  • Certaines vitamines (A,D,E,K) ont besoin de lipides pour être assimilées

Conséquence des carences :

  • La vitamine K empêche la formation de caillot et favorise les saignements ; elle protège le cerveau et les yeux.
  • Pour la vitamine A c’est l’augmentation des risque d’infection.
  • Et la vitamine D augmente les risques de dépressions, Alzheimer, Parkinson, maladies auto-immune.

 

2- Où trouver les bonnes graisses ?

Il y a les graisses mono-insaturées que l’on trouve dans :

  • Les avocats
  • Les olives
  • Les noix
  • Les noisettes
  • Les amandes

 

Les omégas 3 que l’on trouve dans :

  • Les noix
  • Le saumon Sauvage
  • Les anchois marinés (non cuit) voir recette ICI 
  • Les sardines
  • Les maquereaux (marinés de préférences)
  • Les harengs
  • Huile de Colza ou de noix

Pour en savoir plus sur les omégas 3, je vous invite à lire l’article :

Oméga 3: colza et oléagineux

 

Les graisses saturées non transformées :

Toutes nos cellules ont besoins de graisses saturées, car leurs membranes en sont constituées à 50%.

Les lipides saturées pris en quantités raisonnables contribuent au bon fonctionnement de nos poumons, cœur, os, foie, système immunitaire.

On les trouve dans :

  • Le beurre de préférence cru non pasteurisé. Ne pas le faire cuir car il se transforme en graisse trans nocive.
  • L’huile de coco.

 

3- Les graisses à éviter :

Ce sont tous les lipides hydrogénées et Trans.

On les trouve dans :

  • Les plats industriels (bio ou pas)
  • Les pâtes feuilletés non pur beurre (bio ou pas)
  • Les margarines (bio ou pas)

 

4- Quelle quantité consommer ?

Il est évident que de consommer des lipides de façon excessive sera tout autant nocif que de ne pas en consommer.

Toutefois, il est prouvé que les personnes en surpoids qui ont essayées plusieurs régimes ont souvent une carence en consommation de graisses et une trop grande consommation de féculent et autres glucides (qui font grossir).

Pour perdre du poids et plus simplement rester en bonne santé, il est nécessaire de réintroduire les graisses dans l’alimentation et diminuer les glucides.

Le bout de lard dans la soupe de nos ancêtres était une bonne alimentation [1]

  • Glucides : 10%
  • Graisses : 6%
  • Protéines : 30%
  • Légumes: 40%
  • Fruits : 4%

 

Une alimentation pauvre en glucides et avec une bonne proportion de lipides diminue :

  • Le poids
  • La sécrétion excessive d’insuline et contrôle la glycémie.
  • Contrôler la glycémie permet de baisser la protéine C réactive que l’on trouve dans les maladies inflammatoires et les maladies auto-immunes.
  • Les risques d’AVC
  • Les maladies dégénératives : parkinson, Alzheimer, autisme.
  • La dépression, le stress.

 

Conclusion :

Comme vous le voyez, les graisses sont utiles à notre équilibre. Il y les bonnes et les moins bonnes. Tout est question de mesure et d’équilibre.

Si vous souhaitez en parler, je vous invite à me contacter pour un appel découverte en cliquant ICI.

 

 

[1] Docteur David Permultter : ces glucides qui menacent notre cerveau.
[2] Docteur Natasha Campbell spécialiste en neurologie et nutrition : le syndrome entérophysiologique et entéropsychologique : GAPS
This website uses cookies to improve your web experience.